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Quelles sont les marques de TV à éviter en 2025 ?

Ne laissez pas une mauvaise marque gâcher votre expérience télévisuelle – découvrez celles à éviter absolument !

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Vous en avez marre de tomber sur des téléviseurs à éviter qui lâchent prise après quelques mois ? Moi aussi, je l’avoue ! Dans ce guide, on passe en revue les marques de téléviseurs à éviter en 2024, avec des tests concrets, des avis utilisateurs et une seule envie : vous éviter les mauvaises surprises. Suivez le fil, et on verra si votre prochaine TV ne finira pas dans la liste noire…

Sommaire

  1. Les marques de TV à éviter: guide du consommateur averti
  2. Sceptre: une qualité d’image et des matériaux décevants
  3. Hisense: pannes précoces et performances limitées
  4. TCL: rétroéclairage inégal et système d’exploitation instable
  5. Sharp: une qualité en déclin et des problèmes de connectivité
  6. Marques de distributeurs: interfaces rudimentaires et pannes fréquentes
  7. Marques « ressuscitées »: noirs peu profonds et interfaces mal optimisées
  8. Marques d’importation ultra low-cost: absence de SAV et obsolescence programmée

Les marques de TV à éviter: guide du consommateur averti

Sur le marché des téléviseurs, certaines marques accumulent les critiques. Pas toujours pour des performances techniques décevantes, parfois pour une durabilité défaillante. L’indice de durabilité obligatoire depuis 2025 révèle que même les meilleures notes ne dépassent guère 8/10. Autre angle écologique : 2,5 tonnes de matières premières pour un écran de 11 kg.

  • Qualité d’image médiocre avec contraste faible, couleurs imprécises et réactivité de dalle insuffisante pour une image floue en mouvement rapide
  • Faible fiabilité technique due à des composants de qualité inférieure entraînant une durée de vie réduite et des pannes fréquentes
  • Rapport qualité/prix trompeur avec des modèles bon marché mais des réparations coûteuses et une obsolescence rapide
  • Service après-vente déficient : délais de réparation longs, garantie limitée et support client peu réactif
  • Fonctionnalités smart limitées avec interfaces peu intuitives, mises à jour irrégulières et compatibilité restreinte avec les applications
  • Marques de distributeurs proposant des écrans avec traitement vidéo inexistant et interfaces rudimentaires
  • Marques historiques ressuscitées sans réelle expertise actuelle, avec des défauts techniques persistants
  • Marques ultra low-cost utilisant des dalles de piètre qualité, de l’électronique défaillante et peu de mises à jour
  • Indice de durabilité faible indiquant une réparabilité complexe et une espérance de vie réduite
  • Avis négatifs récurrents des utilisateurs et tests experts soulignant des problèmes techniques persistants

La mauvaise réputation d’une marque ne doit pas toutefois effrayer. J’ai constaté que certaines séries haut de gamme de fabricants critiqués offrent des surprises : meilleure qualité d’affichage, composants plus solides ou SAV amélioré. La clé ? Comparer les spécificités de chaque modèle.

Pour bien choisir, je vous conseille de cumuler les sources. Les guides d’achat d’UFC-Que Choisir, les tests complets de Les Numériques et les retours d’expériences sur les forums spécialisés sont précieux. La technologie d’affichage (OLED, QLED) et l’indice de durabilité (dispo sur les sites de vente) comptent aussi.

Sceptre: une qualité d’image et des matériaux décevants

Les TV Sceptre peinent à restituer des couleurs vives et un contraste maîtrisé. Sur les modèles testés, les noirs manquent de profondeur, les blancs sont ternes, et certains écrans 4K donnent l’impression d’être en 1080p. Résultat : une image peu immersive, même en regardant des contenus en haute résolution.

L’attrait du prix masque mal les matériaux bas de gamme. Les plastiques fins craquent facilement, les joints des écrans laissent filtrer la lumière, et les problèmes mécaniques (comme des pieds bancals) reviennent souvent. Une TV Sceptre ressemble à un château de cartes : économique, mais fragile.

Le SAV Sceptre ? Disons qu’il ne gagnerait pas un marathon de la rapidité. Les retours d’expérience mentionnent des délais de plusieurs semaines pour des réparations sous garantie. En cas de bug logiciel, les mises à jour sont rares, voire inexistantes, comme si le support pensait que « ça va passer tout seul ».

Hisense: pannes précoces et performances limitées

Les TV Hisense ont tendance à rencontrer des problèmes techniques assez rapidement. Beaucoup d’utilisateurs rapportent des pannes d’affichage (écrans noirs, traits visibles, couleurs déformées) après seulement 2 à 3 ans d’utilisation. C’est un peu comme acheter un smartphone qui commence à ramer dès la deuxième année.

Tableau comparatif des marques de téléviseurs à éviter et leurs problèmes spécifiques
Marque Problèmes techniques Aspects critiques pour l’utilisateur
Sceptre Faible fidélité des couleurs, contraste limité, rétroéclairage inégal Durabilité réduite, risque de défaillance précoce, service après-vente peu réactif
Hisense Pannes fréquentes sous garantie, interfaces Smart TV lentes, son intégré de qualité moyenne Coûts cachés liés aux réparations, expérience utilisateur dégradée par des bugs logiciels
TCL Rétroéclairage inégal (effet « backlight bleed »), OS instable, latence élevée en mode jeu Besoins fréquents d’accessoires externes (barre de son), mise à jour logicielle limitée
Sharp Déclin de la qualité d’image, compatibilité limitée HDR, connectivité Wi-Fi capricieuse Dépréciation rapide de l’appareil, difficultés d’intégration dans les écosystèmes modernes
Marques distributeurs (Techwood, Ok, Listo) Contraste bas, traitement vidéo rudimentaire, angles de vision restreints Fiabilité douteuse, obsolescence accélérée, support technique inexistant

Le système Android TV d’Hisense peut être désagréable à utiliser. L’ouverture d’applications comme Now TV ou Netflix est souvent lente, avec des écrans noirs ou des blocages. C’est un peu comme attendre que votre ordinateur démarre… mais pour une soirée cinéma en famille.

Même si Hisense propose des modèles abordables, le coût à long terme peut vite grimper. Réparations coûteuses (300€ pour un écran), remplacement fréquent, ou achat d’une barre de son externe pour compenser un son décevant. C’est un peu comme économiser sur la qualité initiale pour payer plus tard.

TCL: rétroéclairage inégal et système d’exploitation instable

Le rétroéclairage inégal sur les TV TCL se traduit par des taches sombres visibles, surtout sur fond clair. Sur les modèles 5-Series 65″ ou 55C728, les coins d’écran restent systématiquement plus sombres. Un utilisateur a même vu ce défaut s’aggraver avec le temps, comme si la dalle devenait allergique à l’uniformité.

L’OS des Smart TV TCL a souvent des problèmes. Une pression sur la télécommande, et patatrac : 5 secondes d’attente pour l’ouverture d’une appli. Le Wi-Fi se déconnecte sans raison, et le son grésille en avance rapide. C’est l’équivalent d’un ordinateur qui rame, mais en pire, car vous êtes coincé sur le canapé.

Le son des TV TCL manque de clarté : les dialogues se noient dans la bande-son. Un utilisateur a dû acheter une barre de son pour distinguer les répliques de son film préféré. Comptez 100€ minimum pour compenser ce défaut, ce qui érode le budget déjà serré en choisissant cette marque.

Sharp: une qualité en déclin et des problèmes de connectivité

Les téléviseurs Sharp ont perdu de leur superbe. Alors que la marque dominait le marché LCD dans les années 2010, ses modèles actuels souffrent d’un déclin technique visible. L’écran affiche des couleurs moins vives, une latence élevée en mode jeu, et une compatibilité HDR limitée. C’est un peu comme un smartphone qui rame après quelques mois d’usage.

Les TV Sharp voient leurs composants lâcher prise prématurément. Des utilisateurs signalent des écrans noirs, des problèmes de rétroéclairage ou des bugs logiciels dès la deuxième année. Même si la garantie couvre les réparations, les délais s’allongent, et les coûts cachés s’accumulent. En clair, économiser sur le prix d’achat peut coûter plus cher au final.

La connectivité Wi-Fi des Sharp est capricieuse. Sur les modèles testés, le signal se coupe pendant le streaming, avec des temps de buffering insupportables. Résultat ? Votre soirée cinéma devient un calvaire. Pour pallier cela, branchez votre TV en Ethernet ou rapprochez le routeur. C’est un peu comme éviter les gouttières en marchant sur le bord du toit… mais efficace.

Marques de distributeurs: interfaces rudimentaires et pannes fréquentes

Les marques de distributeurs comme Techwood, Ok et Listo dominent les rayons d’entrée de gamme. Derrière ces noms, difficile de reconnaître le fabricant. Ces téléviseurs sont souvent produits par des usines chinoises anonymes, sans expertise affichée. Comme si on achetait une voiture sans savoir qui l’a construite.

Les images sur ces TV n’ont pas beaucoup de relief. Les contrastes sont plats, les mouvements saccadés, et les détails disparaissent. C’est un peu comme regarder un film avec des lunettes mal adaptées : flou, déformé, fatiguant. Pas de quoi s’émerveiller devant un match ou un blockbuster.

Les interfaces de ces téléviseurs donnent l’impression d’un ordinateur des années 90. Lentes, peu intuitives, souvent bloquées aux anciennes versions Android TV. Et les pannes ? Écrans noirs, problèmes audio, bugs de mise à jour… Comme si la TV voulait se reposer, mais sans se réveiller.

Marques « ressuscitées »: noirs peu profonds et interfaces mal optimisées

Des marques comme Blaupunkt, Polaroid ou Thomson reviennent sur le marché, mais sous de nouveaux noms. Admea rachète Schneider, BasicNet relance K-Way… Ces renaissances reprennent le capital sympathie du passé, mais sans l’ADN technique d’origine. C’est un peu comme si votre grand-mère reprenait son métier de couturière avec une machine à coudre du commerce.

Les TV de ces marques « ressuscitées » montrent souvent des noirs grisâtres et des couleurs fades. Un utilisateur a comparé l’effet à un écran qui « oublie d’éteindre la lumière en fond ». Résultat : des scènes sombres qui manquent de profondeur, comme regarder un film avec des rideaux mal fermés. La technologie LCD n’aide pas, mais le calibrage approximatif aggrave le défaut.

Les interfaces sont lentes, les sons inégaux. Sur une TV Thomson, l’ouverture d’une appli prend 5 secondes, avec un écran qui se fige. Le son des dialogues disparaît sous la musique, obligeant à monter le volume à 80% pour comprendre un mot. C’est comme regarder un film en permanence en mode « réverbération », sauf que c’est l’appareil qui résonne mal.

Marques d’importation ultra low-cost: absence de SAV et obsolescence programmée

Les marques comme Grandin (Conforama), Lazer (Auchan) ou Proline (Darty) visent les primo-accédants avec des modèles entre 80€ et 350€. Ces téléviseurs low-cost sont souvent produits en Chine ou en Turquie, comme Windsor ou Telefunken. Le modèle économique repose sur des composants bas de gamme et une distribution massive, un peu comme acheter un smartphone avec la garantie d’une tablette de supermarché.

Les dalles LCD de ces TV sont souvent de qualité médiocre, avec un contraste bas et une résolution parfois inférieure au Full HD. L’électronique est simplifiée : processeurs lents, mémoire limitée, et presque pas de mises à jour logicielles. Résultat ? Un écran qui rame, plante, ou devient obsolète en deux ans. C’est un peu comme un repas à 5€ : bon marché, mais pas nourrissant.

Le service après-vente ? Disparu. Les pièces détachées sont introuvables, et les réparations prennent des semaines. Avec une durée de vie moyenne de 8 ans pour les TV, ces modèles tombent en panne bien avant, souvent irréparables à cause de l’obsolescence programmée. Comme le dit un utilisateur : « Acheter ce genre de TV, c’est louer un écran pour 3 ans, pas l’acheter. » La réparation coûte plus cher que le prix d’achat, forçant au remplacement. C’est un cercle vicieux : économiser à l’achat pour dépenser deux fois plus à long terme.

Entre Sceptre aux couleurs fades, Hisense aux pannes récurrentes et TCL aux bugs logiciels, choisir une TV demande vigilance. Je pense que vérifier les avis et privilégier fiabilité avant le prix évite bien des déceptions. Une bonne recherche aujourd’hui vous évitera frustrations (et factures imprévues) demain : investir dans la qualité, c’est offrir à vos soirées cinéma un écran à la hauteur !

FAQ

Quelle est la durée de vie moyenne d’une tv ?

La durée de vie moyenne d’un téléviseur moderne se situe entre 7 et 10 ans. Cette estimation peut varier en fonction de la qualité de fabrication, de la technologie d’affichage (LCD, OLED, Mini-LED), de l’intensité d’utilisation et des conditions environnementales.

Les TV OLED récentes atteignent environ 100 000 heures d’utilisation, grâce à des technologies qui limitent le risque de burn-in. Une étude a révélé que les téléviseurs LCD perdent entre 20 et 40 % de leur luminosité après environ 6 ans d’utilisation intensive.

Comment étendre la durée de vie de sa tv ?

Pour prolonger la durée de vie de votre téléviseur, placez-le dans un endroit propre, à l’abri de la lumière directe du soleil, des sources de chaleur et de l’humidité. Assurez une bonne ventilation en laissant de l’espace autour de l’appareil et éteignez-le après utilisation.

Nettoyez régulièrement l’écran avec un chiffon en microfibres doux et sec, et programmez les mises à jour automatiques du logiciel de votre Smart TV. Pensez aussi à réduire la luminosité et le rétroéclairage pour éviter une surchauffe. Je pense que ces quelques habitudes peuvent vraiment faire la différence !

Quels sont les critères de fiabilité d’une tv ?

Les critères de fiabilité d’une TV incluent la durabilité, la réparabilité et la qualité des composants. Certaines marques comme Sony, Sharp et LG sont réputées pour avoir moins de pannes dans les deux ans suivant l’achat. L’indice de durabilité, obligatoire en France dès 2025, est un indicateur important à surveiller.

La disponibilité des pièces détachées est également cruciale pour la réparabilité. En France, elles doivent être disponibles pendant au moins 5 ans. Vérifiez aussi la consommation d’énergie, car elle peut influencer la durée de vie de l’appareil. Je pense qu’il faut vraiment prendre le temps de comparer ces éléments avant d’acheter.

Comment bien comparer les modèles de tv ?

Pour bien comparer les modèles de TV, il faut considérer la taille de l’écran, qui doit être adaptée à la pièce. La technologie d’écran est aussi un facteur déterminant : LCD avec LED, OLED, etc. La résolution (Full HD, 4K, 8K) est un autre aspect essentiel, surtout pour les grands écrans.

N’oubliez pas de vérifier la connectique (ports HDMI, USB), les fonctions Smart TV et l’indice de réparabilité. Consultez des comparatifs et des tests en laboratoire pour évaluer la qualité de l’image, du son et la consommation électrique. Je pense qu’il est important de ne pas se focaliser uniquement sur le prix, mais de privilégier la qualité et la durabilité.

Oled ou qled : quel écran est le plus durable ?

Il est difficile de dire lequel des écrans OLED ou QLED est le plus durable de manière générale. La durabilité dépend de la marque, de la qualité de fabrication et de l’utilisation. Le baromètre du SAV Fnac-Darty peut donner une indication sur la fiabilité et la réparabilité des modèles.

Les TV OLED ont une durée de vie moyenne d’environ 10 ans, avec des pièces détachées disponibles pendant environ 5 ans. L’indice de durabilité, qui prend en compte la réparabilité et la fiabilité, est un bon indicateur à considérer. Je pense qu’il faut surtout comparer les modèles spécifiques et les avis des utilisateurs.

Comment interpréter l’indice de durabilité d’une tv ?

L’indice de durabilité d’une TV est une note sur 10 qui informe les consommateurs sur le caractère durable des produits, en tenant compte de la réparabilité et de la fiabilité. Il s’applique aux téléviseurs depuis janvier 2025. Cet indice vise à sensibiliser les consommateurs et à lutter contre l’obsolescence programmée.

L’indice est calculé sur la base de plusieurs critères, tels que l’usure, la disponibilité des pièces détachées et le prix de la réparation. Les fabricants doivent publier les données ayant permis le calcul de cet indice. Je pense que c’est un outil utile pour faire un choix éclairé, mais il ne faut pas le considérer comme le seul critère.

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  • photo de profile de l'auteur Jérémy

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Jérémy

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